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mercredi 13 juin 2012

Immobilier : Paris, ville la plus chère d'Europe

"La France est l'un des pays les plus chers d'Europe en ce qui concerne l'immobilier, selon une étude sur 12 pays de l'UE rendue publique mardi par le cabinet Deloitte.
La France est, après le Danemark, le pays où le coût total du logement (location, services, réparations, reconstructions...) est le plus élevé : il dépasse de 41 % la moyenne de l'UE (un peu plus de 3 200 euros par personne sur l'année). Le Danemark la dépasse de 70 %. C'est aussi en France que les logements neufs sont les plus chers : entre 3 500 et 4 000 euros le mètre carré en moyenne, devant le Royaume-Uni (environ 3 000 euros) et l'Italie (entre 2 500 et 3 000 euros).
Parmi les capitales et les grandes villes, Paris est la plus chère avec des transactions dépassant 8 000 euros par mètre carré en moyenne dans le neuf. Le groupe suivant réunit une autre ville française, Marseille, aux côtés de Londres, Rome et Milan, avec des prix d'environ 4 000 euros le mètre carré. Budapest est la capitale européenne la plus abordable : 940 euros du mètre carré.

Hausse des prix

La France affiche aussi la plus forte hausse des prix sur un an (+ 6,2 %), suivie par l'Allemagne (+ 4 %), l'Autriche (+ 3,14 %) et la Belgique (+ 3 %). À l'inverse, il y a une "baisse significative" en Hongrie (de plus de 20 %) et en Espagne (de plus de 5 %). La France se distingue également pour l'accessibilité des logements à l'achat, que Deloitte évalue par rapport au salaire moyen national. Pour acheter un appartement de 70 mètres carrés, il faudra en France 9,1 années de salaire, le niveau le plus élevé. À l'autre bout de l'échelle, au Danemark, 2,43 années de salaire suffisent.
L'un des rares indicateurs où la France n'arrive pas dans le haut du classement est l'endettement. Le montant total des emprunts immobiliers y représente 41 % du PIB, en dessous de la moyenne de l'UE (52 %) et loin derrière les Pays-Bas et le Danemark, où l'endettement dépasse 100 % du PIB. L'endettement par habitant est de 12 310 euros par habitant en France, comparable à celui de l'Espagne, de l'Autriche et de la Belgique, mais nettement en dessous de celui du Royaume-Uni (23 270 euros) et des Pays-Bas (38 010 euros).
L'étude de Deloitte compare l'Autriche, la Belgique, la République tchèque, le Danemark, la France, l'Allemagne, la Hongrie, l'Italie, les Pays-Bas, la Pologne, l'Espagne et le Royaume-Uni."

Source: Le Point.fr

lundi 23 janvier 2012

Le refuge immobilier est à relativiser

Le refuge immobilier est  à relativiser
Une recherche d’UBS souligne la faible efficacité des investissements dans la pierre
 Lors de la présentation de cette étude aux médias, mercredi à Zurich, UBS a en outre mis l’accent sur un examen très critique de l’argument de la valeur refuge de l’immobilier. Responsable mondial de la recherche immobilière du Wealth Management de UBS, Claudio Saputelli a même développé huit arguments clés dans ce sens. Alors que les particuliers font encore grimper les prix actuellement sur le marché du logement et des maisons locatives dégageant des rendements trop bas pour rentabiliser les prix élevés actuellement demandés.
Car l’afflux de capitaux sur le marché du logement en Suisse ne se dément pas. Et l’immobilier rassure d’autant plus en périodes de tumultes. Cette réputation de la pierre comme placement sûr est pourtant usurpée. L’immobilier a servi de détonateur aux six dernières grandes crises bancaires du monde industrialisé – dans les années 70 en Espagne, les années 80 en Norvège, les années 90 en Suède, en Finlande, au Japon et même en Suisse. Et actuellement encore aux Etats-Unis.


C’est que le risque augmente avec la taille du marché. Or en 2010 cette classe d’actifs représentait près de 42% du patrimoine des ménages en Suisse – de loin la catégorie de loin la plus importante – contre 6,4% seulement pour les actions et 3,5% pour les obligations. D’autant qu’au cours des sept dernières années, la valorisation de l’immobilier en propriété privée a gonflé de 40% à plus de 1400 milliards de francs. Des chiffres qui illustrent à l’envi le risque systémique que recèle cette classe d’actifs et l’impact énorme des fluctuation des prix du logement sur la situation patrimoniale des ménages.
PLUS DIMMO EN SUIVANT :
Mais Claudio Sputelli souligne aussi l’inefficacité de l’immobilier d’habitation comme investissement. Compte tenu des motivations disparates qui incitent les particuliers à acheter. Aux Etats-Unis, essentiellement – selon une enquête de Fannie Mae – pour assurer un cadre de développement sûr à ses enfants ainsi qu’un meilleur contrôle de son espace d’habitation.
En Chine, sans appartement, il serait très difficile à un homme de se marier compte tenu du déséquilibre hommes/femmes de 163,5/100 dans nombres de régions du pays. La question centrale dès lors revient à définir si l’achat d’un logement correspond à celle d’un bien de consommation ou d’un bien d’investissement. Dans le premier cas, une hausse des prix induit une baisse de la demande. Dans le second cas, c’est le contraire: une hausse des prix alimente une demande spéculative.
L’immobilier contribue en outre à influencer fortement l’évolution de l’économie en démultipliant l’impact de la politique monétaire. Si un institut d’émission suit une politique expansive, c’est souvent le marché immobilier qui absorbe les nouvelles liquidités Et une baisse des taux d’intérêt stimule la demande. En revanche, dans le cas d’une politique monétaire restrictive, les effets – de richesse notamment – se retournent contre la croissance.
La différence peut être considérable entre la croissance économique moyenne dans les années qui précèdent et celles qui suivent l’éclatement d’une bulle immobilière (3 points de pourcentage en Suisse dans les années 90). Les grandes crises bancaires du monde industrialisé ont d’ailleurs toutes trouvé leur cause dans des déséquilibres immobiliers. L’absence de possibilité d’investir en misant sur une baisse des prix est une autre lacune de ce marché qui ne permet pas de corriger facilement des prix surévalués selon le spécialiste. Sauf pour des véhicules cotés bien sûr. Ni de se couvrir contre une chute des prix. Ce sont la quatre des huit facteurs énumérés pour relativiser la fonction de valeur refuge de l’immobilier.
Et si les données de base de l’immobilier d’habitation en Suisse sont pour l’instant jugées solides par les spécialistes de UBS, ceux-ci ne manquent pas de souligner que des déséquilibres sont apparus dans la confiance générale : en cinq ans seulement, les prix des appartements en propriété ont en moyenne augmenté de 35% à travers le pays, et même de 70% dans l’arc lémanique. Pour 2012, les spécialistes de la grande banque n’en tablent pas moins, malgré la mauvaise conjoncture, sur une poursuite de la hausse, mais ralentie à 4% en Suisse pour les logements en propriété et à 3,5% pour les maisons individuelles. Alors que les loyers devaient augmenter en moyenne que de 1,5% dans le locatif (en cas de changement de locataires) et de 0,5% dans les bureaux. Un recul de 2% des loyers proposés étant même attendu pour les surfaces de ventes commerciales.

mardi 17 janvier 2012

Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de l’immobilier

Source: Myportfolioo.com

"Rien de particulier ce soir, à part la confirmation des perspectives du marché immobilier par le Crédit Agricole, qui prédit une baisse de 5% des prix. Autre impact (anticipé) : la hausse probable des taux suite à la perte du AAA par la France."

Analyse Marché Immobilier France
 Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobilierwww.gecodia.fr
 Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobilier
Conjoncture de l’immobilier en France : chiffres clefs sur les transactions, l’offre, la demande des ménages, les crédits, les prix.
Les données sont regroupées en 4 catégories :
- Transactions immobilières : statistiques officielles sur les ventes immobilières dans l’ancien (avec terrains ou bien logements uniquement) et les ventes de logements neufs. Il est présenté aussi l’importance des marchés en valeur (montant des transactions).
- Construction de logements : données sur l’offre immobilière avec la production de nouveaux logements et les stocks disponibles dans le neuf.
- Demande de logements : statistiques les plus pertinentes sur l’appétit des particuliers pour l’investissement dans un logement. Regroupe les données sur le crédit immobilier (flux et taux), le pouvoir d’achat (salaires, revenus disponibles) mais aussi l’emploi salarié et le taux d’épargne.
- Prix immobiliers : Les statistiques publiques publiées sur les prix des logements anciens (Insee) et les prix des logements neufs (SOeS) mais aussi le coût de la construction pour une maison individuelle (Insee). Les informations les plus fiables (mais pas exemptes de critiques) sur les tendances des prix.
Si les taux de crédit augmentent, les prix vont baisser

 Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobilierimmobilier.nouvelobs.com
Le marché immobilier va dépendre de l’évolution des taux de crédit immobilier.

Pourquoi la fin du AAA va réduire d’un tiers le marché de l’immobilier
 Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobilierwww.challenges.fr
 Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobilier
Les banques avaient anticipé la perte par la France de son triple A. Les taux de crédit immobiliers devraient néanmoins continuer à monter de 0,5 point d’ici au printemps, portant les taux moyens à 4,7%. De quoi freiner brutalement le nombre des transactions, faute d’acheteurs.
Disparition probable d’un tiers des acheteurs
Cela aura deux conséquences pour le marché de l’immobilier. La première, la plus importante, c’est la disparition d’un certain nombre d’acquéreurs potentiels…
Immobilier : Vers une baisse des prix de 5 % cette année ?
 Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobilierfeedproxy.google.com
Le Crédit agricole maintient ses prévisions de la fin 2011 : selon la banque, les prix de … Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobilier

« Au-delà de 300.000 euros les ventes se font très rares sur le marché immobilier de Caen »
 Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobilierwww.capital.fr
Le marché immobilier caennais marque le pas. Depuis quelques mois, les prix des petits appartements se stabilisent et repartent à la baisse pour les grandes surfaces. Le point sur le marché de Pascal Blot, directeur du cabinet Orpi-Pascal Blot.

Prix immobiliers : une baisse lente et graduelle en 2012

 Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobilierimmobilier.nouvelobs.com
Selon la dernière étude publiée par le Crédit Agricole, les prix de l’immobilier vont baisser d’environ 5 % en 2012.
Prêts immobiliers : hausse probable, mais non immédiate, des taux
0201844078879 prets immobiliers hausse probable mais non immediate des taux 275556 Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobilierwww.lesechos.fr
 Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobilier
La dégradation la note de la France devrait renchérir le taux des crédits à taux fixes. Mais pas tout de suite. Depuis l’été, les conditions d’octroi des crédits sont plus sévères….




La France perd son Triple A : quel impact sur nos crédits ?
actualite credit perte du triple a quel impact sur nos credits 3620 Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobilierfeedproxy.google.com
Le verdict est tombé : ce vendredi 13 janvier 2012 la France a officiellement perdu son Triple A. Si cela ne faisait plus de doute aux yeux des observateurs, cette dégradation prononcée par l’agence de notation Standard and Poor’s n’en reste pas moins d’importance. Il n’est désormais plus temps de s’interroger sur les causes d’une telle perte mais plutôt d’en déterminer l’impact réel sur notre économie, notamment en ce qui concerne les secteurs de l’immobilier et du crédit.
La hausse des taux de crédit est inévitable
Il n’en reste pas moins que la décision prise ce vendredi par Standard and Poor’s va inévitablement peser sur notre économie et, par la même occasion, sur le budget des français. Interrogé par le site l’Expansion.com, Cyril Régnat, économiste de Natixis, pronostique déjà « des impacts en chaîne sur l’économie réelle, puisque les banques françaises se financent généralement à un taux proche – légèrement supérieur – de celui de l’Etat », ajoutant que « les taux des crédits aux entreprises et aux particuliers pourraient donc monter en flèche ».
Les banques de plus en plus frileuses
Si la hausse des taux de prêt semble d’ores et déjà actée, certains estiment qu’il ne s’agira pas là du seul problème rencontré par les candidats à l’achat immobilier. En effet, sans toutefois fermer le robinet du crédit, les banques devraient se montrer de plus en plus prudentes avant d’accorder le moindre financement.

Acheter un bien immobilier en 2012 ?
 Revue de presse 17 janvier : dernières nouvelles de limmobiliermagimmo.seloger.com
La conjoncture immobilière est-elle aussi mauvaise qu’on ne l’avance ? Entre la hausse prédite des taux de crédits, la diminution effective des avantages fiscaux, et la crise qui dure, la donne a changé. Maison à part dresse un bilan de la situation par profil d’acheteur potentiel.

jeudi 12 janvier 2012

Corrélation entre les constructions de gratte ciels et les crises financières

Source Zerohedge

Version FR


ZeroHedge



There has been an unhealthy correlation between construction of the next world's tallest building and an impending financial crisis over time. Barclays Capital points to their Skyscraper Index and the developments in New York 1930, Chicago 1974, Kuala Lumpur 1997, and Dubai 2010 but as they note "the world's tallest building is often simply the edifice of a broader skyscraper building boom, reflecting a widespread mis-allocation of capital and an impending correction." Incredibly, China has 53% of all the world's skyscrapers under construction (today's biggest bubble builder) and will expand the total number of skyscrapers by 87% by 2017. China is not alone as another hopeful driver of global growth, India, is ramping up its skyscraper development and now has 14 under construction (and is constructing the world's second tallest building, the Tower of India, which should be completed by 2016. As BARCAP concludes, if history is any guide, this building boom (and increasing geographic dispersion) in China (and India) is simply a reflection of massive mis-allocation of capital, which may result in an economic correction for two of Asia's largest economies in the next five years.

Barclays Capital: The Skyscraper Index - Bubble Building
As the Skyscraper Index (first published in 1999) shows, the link between construction of the world's tallest building and an economic crisis has proved remarkably accurate. It may have started with the Tower of Babel, but over the past 140 years an unhealthy correlation exists between the building of world's the next tallest building and an impending financial crisis: New York 1930, Chicago 1974, Kuala Lumpur 1997, Dubai 2010.


Skyscraper construction has been characterised by long periods of inactivity intersected by short periods of erratically timed, intense activity typically coinciding with excessive monetary expansion in the global economy. Skyscrapers are perhaps the ultimate architecture of capitalism.
The world's first skyscraper, The Equitable Life Building in New York was completed in 1873 at a height to its roof of 142ft. Later demolished in 1912, this first skyscraper coincided with a five-year recession in the US and Europe that started in 1873 and is now known as the Long Depression.
The Auditorium Building in Chicago completed in 1889 and the New York World Building, New York, completed in 1890, coincided with the British banking crisis of 1890 and a world recession. The Masonic Temple in Chicago, completed in 1892, The Manhattan Life Insurance Building in 1894 and Milwaukee City Hall, completed in 1895, all coincided with the US panic of 1893 marked by the collapse of railroad overbuilding, a series of bank failures and a run on gold. Until the Great Depression of the 1930s this was considered the worst depression the United States had ever experienced.
The completion of the Park Row Building, New York in 1899 and Philadelphia City Hall in 1901 foretold the US stock market crash and panic of 1901.
The construction of the Singer Building, completed in 1908, and the Metropolitan Life building, completed in 1909, both in New York, coincided with an economic crisis in the United States which commenced in October 1907 reflecting a monetary expansion brought about by the establishment of trust companies. The Woolworth Building, New York, that opened on 24 April 1913 coincided with the 1Q13 peaking of the US economy and a fall in GDP that lasted until 4Q14.
The Great Depression, marking the end of the extended post-World War I boom, was matched by three record breaking New York skyscrapers: 40 Wall Street in 1929; The Chrysler Building in 1930 and the Empire State Building in 1931.
The completion of One World Trade Centre, New York in 1972, Two World Trade Centre, New York in 1973 and The Sears Tower, Chicago in 1974 marked a period of US currency speculation, the collapse of the Bretton Woods system and the OPEC price rises which caused an economic crisis across the world.
Perhaps unsurprisingly, the first of the world's tallest buildings in the last 130 years to be built outside the US heralded its own regional crisis. The completion of Petronas Towers, Kuala Lumpur in 1997 was followed by a region-wide economic crisis and the collapse of Asian currencies. Likewise in technology-centric Taiwan, Taipei 101, although completed in 2004, start of construction in 1999 was well timed to coincide with the early 2000s recession and the end of the technology bubble.
The 2010 completion of the current tallest building in the world, the Burj Khalifa (previously called the Burj Dubai), has coincided with the current global financial crisis, especially when it is considered that the building's height overtook that of Taipei 101's on 21 July 2007. It is estimated to have cost the developer, Emaar, around US$4.1bn to build.
Thankfully for the world economy, there is not currently a skyscraper under construction that is planned to overtake the height of the Burj Khalifa. This is perhaps unsurprising given the significant increase in building height of the Burj Khalifa over the previous world's tallest building, an increase in height comparable to that created by the 1930s skyscrapers over their predecessors. All of which suggests that not only may completion of the world's tallest building be a good indicator of economic excess, but the rate of increase in height may also reflect the extent of that economic excess.
Bubble Building
Yet, while completion of the world's tallest building might symbolise the extent of economic expansion and the height of hubris, in terms of economic outlook it is important to also focus on the number of skyscrapers being built. An analysis of the construction of skyscrapers shows a clear concentration of building booms of geographic concentration; the world's tallest buildings rarely stand alone.
Based upon Skyscraper completion dates the chart below shows the US building booms of the 1890s, the 1930s and 1970s that corresponded with the completion of their record holding buildings. However, it also shows the late 1980s building boom associated with the US Savings and Loan Crisis and a recent building boom that corresponds with the current financial crisis.
The growth of Asia ex-Japan construction in the 1990s is consistent with the region's completion of the world's tallest buildings and the onset of the Asian financial crisis. More recently, it has been the Middle East, which now has the world's tallest building, where the recent concentration of skyscraper building has emerged.


Looking forward, using skyscrapers under construction, it is evident that the skyscraper boom in China continues to grow. China will complete 53% of the 124 skyscrapers under construction over the next six years, expanding the number of skyscrapers in Chinese cities by a staggering 87%. China's skyscrapers are not only increasing in number — it now has 75 completed skyscrapers above 240m in height - but the average height of the skyscrapers that it is building is also increasing as past liquidity fuels the construction boom.

In addition, to the increase in size and number of China's skyscrapers, their geographic profile is also changing. Today over 70% of China's skyscrapers are unsurprisingly clustered in the more economically advanced coastal areas of the Pearl River Delta and the Yangtze River Delta. Yet between now and 2017 over 50% of China's skyscrapers will be built inland as China's building boom moves from first-tier cities to second- and third-tier cities. Over 50% of China's skyscrapers are today in tier 1 cities, and based upon current completion plans about 80% of China's new skyscrapers will be built in tier 2 and 3 cities over the next six years - evidence of the expanding building bubble.

Yet China is not alone in the growth of its building bubble, India it seems is playing catch¬up. Today India has only two of the world's 276 skyscrapers over 240m in height, yet over the next five years it intends to complete 14 new skyscrapers, in what will prove to be its largest skyscraper building boom. Worryingly as well, India is also constructing the second tallest building in the world, the Tower of India, which should complete by 2016.

The writing, so to speak, would seem to be already on the glass curtain walling. For if history proves to be right, this building boom in China and India could simply be a reflection of a misallocation of capital, which may result in an economic correction for two of Asia's largest economies in the next five years.

mercredi 4 janvier 2012

Les prix de l'immobilier vont baisser en 2012

Source: Le Figaro

Si les tarifs des appartements et des maisons ont continué à grimper en 2011 de 6 à 7%, ils devraient s'infléchir cette année. Tous les grands réseaux d'agences immobilières, sauf Century 21, prévoient une baisse des prix.

Enfin une bonne nouvelle pour ceux qui envisagent d'acheter un logement. Les prix immobiliers systématiquement orientés à la hausse depuis deux ans en France devraient reculer légèrement ou faire du surplace cette année. La Fnaim, le syndicat professionnel qui regroupe 12.000 agents immobiliers, table sur une baisse des tarifs de 5% au maximum. Tout comme le réseau Orpi qui compte 1200 agences.
«Dans les villes moyennes éloignées de grandes agglomérations, le recul sera compris entre 5 et 10%», souligne Philippe Buyens, directeur du réseau Guy Hoquet qui compte 500 agences. «À Paris, nous nous attendons à ce que les prix baissent de 10%», estime de son côté Gilles Ricour de Bourgies, président de la chambre Paris-Ile-de-France de la Fnaim.

Accès restreint au crédit

Une inversion de tendance causée par la crise économique et sa kyrielle de corollaires (remontée du chômage, accès restreint au crédit, plans de rigueur…). «Les prix vont baisser notamment car les taux d'intérêt des crédits immobiliers risquent d'augmenter de 100 points de base cette année et les banques pourraient réduire la durée des prêts, la ramenant de 17,8 à 17 années en moyenne», précise René Pallincourt, président de la Fnaim. Autre facteur qui joue en faveur d'un tassement des prix selon ce syndicat professionnel, la suppression du PTZ+ (prêt à taux zéro) dans l'ancien. «Suivant nos calculs, cela va désolvabiliser 80.000 à 100.000 candidats à l'achat qui ne pourront donc plus passer à l'acte», estime René Pallincourt.
Seul le réseau Century 21 qui compte 900 agences fait entendre une musique un peu différente et envisage encore une légère hausse des prix cette année. «Nous anticipons une progression des tarifs de 2 à 3%», souligne son président, Laurent Vimont, également persuadé que les prix continueront à monter dans la capitale. Une différence de perspective qui s'explique: le franchiseur n'a pas voulu intégrer dans ses prévisions l'effet d'une hausse des taux d'intérêt qui n'est pas avérée pour l'instant. Century 21 parie toujours sur une hausse même modérée aussi parce qu'il estime qu'avec les incertitudes liées aux élections le nombre de biens à vendre va diminuer. «Il n'y aura que 600.000 transactions en 2012 contre 700.000 l'année dernière», avance Laurent Vimont.

L'exception parisienne de 2011

Unanimité, en revanche, pour analyser le cru 2011. La hausse des prix a été encore soutenue (+7,3% pour la Fnaim et +6% pour Century 21). Avec une pointe à Paris où l'augmentation a atteint plus de 12% selon la franchise américaine. Conséquence de cette flambée des prix: le bien moyen vendu en 2011 a coûté près de 205.000 euros, soit 10.000 euros de plus qu'en 2010. Les acheteurs ont adapté leur stratégie en conséquence. Ils ont acquis des logements plus compacts (79,41 m2 en 2011 contre 80,36 m2 il y a deux ans).
Le mouvement a été plus spectaculaire dans les zones où les prix sont les plus élevés. Ainsi, à Lyon et dans ses environs, les acheteurs se sont contentés de 75,6 m2 en moyenne contre 80,2 m2 il y a deux ans. Et la proportion de classes moyennes et modestes a reculé de 11% parmi les acheteurs.

mercredi 9 novembre 2011

La bulle immobilière proche d'exploser !

Source: Aux Infos du nain

"Bienvenue en France ! Merveilleux pays dont le monde entier envie son modèle "social", et où l'État déverse chaque année 40 milliards d'euros de subventions à l'immobilier, dans le même temps, les escrocs du papy boom de gôche comme de droâte, partout au pouvoir, rationnent l'offre par tous les moyens...

COS, PLU, permis de construire. Et on a même convoqué l'écologie pour nous expliquer qu'il faut reconstruire la ville sur elle même pour préserver les terres agricoles, le tout dans un pays où la forêt non exploitée gagne pourtant du terrain chaque année sur les terres cultivées. On la sent vachement bien la pénurie de terres agricoles...
  suite

J'ai animé une formation récemment dans une grande société de gestion parisienne spécialisé sur les FCPI et OPCI. Leur retour était clair. Cela fait 20 ans qu'ils n'ont pas vu autant de flux sur ce type de fonds, sauf qu'il y a 20 ans, c'était de la décollecte et le début de la dernière crise immobilière française.
Lorsque en même temps, on entend que plus de la moitié des stands lors de Patrimonia été occupé par des acteurs spécialisés dans l'immobilier on peut penser que la fin est désormais très proche.



lundi 3 octobre 2011

Marc Fiorentino sur l'immobilier (infos du nain via la bulle-immo)

Même Fiorentino finit par lâcher l'affaire sur l'immobilier ! Tout arrive !
Ça commence à 8mn50...


Veuillez installer Flash Player pour lire la vidéo

Lien: Aux infos du nain

lundi 7 mars 2011

Nouveaux crédits immobiliers en France : début de la hausse des taux en janvier 2011

Le flux de prêts immobiliers reste vigoureux en janvier 2011.


Nouveaux crédits immobiliers en France : début de la hausse des taux en janvier 2011
 
 
 
"En janvier 2011, les nouveaux prêts immobiliers en France progressent encore pour atteindre 163,0 milliards € (cumul 12 mois), soit le plus haut niveau jamais enregistré pour cette statistique. L’encours total de crédit immobilier progresse de 8,2 % pour un total de 800 milliards € (niveau record). La forte reprise du marché immobilier en France s’est accompagnée d’une hausse aussi conséquente de l'endettement des ménages."

"A court terme, la progression des crédits immobiliers reste compatible avec le maintien d’une demande très importante pour les biens immobiliers, donc pas de modification de fond sur le marché."


Nouveaux crédits immobiliers en France : début de la hausse des taux en janvier 2011
 
"Ce contexte a été favorisé par la baisse des taux (cf. ci-dessous) mais aussi par une politique plus souple de distribution de crédits de la part des banques françaises sur les derniers mois. Il semble que dans le premier cas, le mouvement se termine. En effet, en janvier 2011, le taux d’intérêt moyen pour les prêts immobiliers a progressé sur le mois, pour la première fois depuis décembre 2008. Il atteint 3,45 % en janvier (3,41 % en décembre) pour les prêts à taux fixe et 3,4 % tous types de prêts confondus (3,36 % en janvier). Compte tenu de l’évolution des taux des obligations d'État en France (OAT 10 ans), ce mouvement va continuer. Dans le deuxième cas, les banques ont annoncé en janvier qu’elles n’assoupliraient plus les conditions d’accès au crédit. Ces deux éléments vont dans le sens d’un accès moins facile au crédit pour les français, ce qui devrait se trouver dans le marché." 
 
Source: Gecodia