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mardi 15 mars 2011
Un petit clin d'oeil à notre cher ami Mr Bernanke
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ACTIONS - EUROPE,
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FED
dimanche 13 mars 2011
Hacker Group Anonymous Brings Peaceful Revolution To America: Will Engage In Civil Disobedience Until Bernanke Steps Down
(Traduction en FR)
The world's most (in)famous hacker group - Anonymous - known for effectively shutting down their hacking nemesis security firm (with clients such as Morgan Stanley and, unfortunately for them, Bank of America)- HBGary, advocating the cause of Wikileaks, and the threat made by one of its members that evidence of fraud by Bank of America will be released on Monday, has just launched communication #1 in its Operation "Empire State Rebellion." The goal - engage in "a relentless campaign of non-violent, peaceful, civil disobedience" until Ben Bernanke steps down and the "Primary Dealers within the Federal Reserve banking system be broken up and held accountable for rigging markets and destroying the global economy effective immediately."
The Anonymous manifesto:
The world's most (in)famous hacker group - Anonymous - known for effectively shutting down their hacking nemesis security firm (with clients such as Morgan Stanley and, unfortunately for them, Bank of America)- HBGary, advocating the cause of Wikileaks, and the threat made by one of its members that evidence of fraud by Bank of America will be released on Monday, has just launched communication #1 in its Operation "Empire State Rebellion." The goal - engage in "a relentless campaign of non-violent, peaceful, civil disobedience" until Ben Bernanke steps down and the "Primary Dealers within the Federal Reserve banking system be broken up and held accountable for rigging markets and destroying the global economy effective immediately."
The Anonymous manifesto:
- We are a decentralized non-violent resistance movement, which seeks to restore the rule of law and fight back against the organized criminal class.
- One-tenth of one percent of the population has consolidated wealth in unprecedented fashion and launched an all-out economic war against 99.9% of the population.
- We are not affiliated with either wing of the two-party oligarchy. We seek an end to the corrupted two-party system by ending the campaign finance and lobbying racket.
- Above all, we aim to break up the global banking cartel centered at the Federal Reserve, International Monetary Fund, Bank of International Settlement and World Bank.
- We demand that the primary dealers within the Federal Reserve banking system be broken up and held accountable for rigging markets and destroying the global economy, effective immediately.
- As a first sign of good faith we demand Ben Bernanke step down as Federal Reserve chairman.
- Until our demands are met and a rule of law is restored, we will engage in a relentless campaign of non-violent, peaceful, civil disobedience.
- In our next communication we will announce Operation Empire State Rebellion.
lundi 14 février 2011
Le plus gros détenteur de la dette américaine n'est plus la Chine, c'est...
"Madoff était finalement un petit joueur. Avec ses 50 ou 60 milliards de dollars détournés, il n'a pas exploité toutes les possibilités de la fameuse chaîne de Ponzi... Face au tandem Geithner-Bernanke, nos nouveaux Robert Redford et Paul Newman dans ce remake de « l'Arnaque », il faut dire que la concurrence est rude. Décortiquons cette fraude massive car le montage est d'une subtilité perverse et d'une perversité subtile."
"Que s'est-il passé en 2010 ? L'État américain, déjà en faillite virtuelle, a fait de la relance. Il a injecté des centaines de milliards de dollars dans l'économie qu'il n'avait pas. Ces centaines de milliards, le Trésor américain a dû les emprunter. Le problème, c'est que les Chinois ne veulent plus de ces nouveaux subprimes, ni les Japonais ni les pays du Golfe... Les ménages américains ont absorbé une partie de ces déchets napolitains pour placer une épargne récemment reconstituée. Mais cela ne suffisait pas. Dès lors, la Fed est venue prêter au Trésor américain... Mais la Fed et le Trésor, c'est pareil ! C'est de l'argent qui sort d'une poche pour entrer dans l'autre, avec deux poches qui, aujourd'hui, sont percées. On a appris cette semaine, sans surprise, mais tout de même avec effroi, que la Fed était passée devant la Chine et était devenue le plus gros détenteur d'emprunts d'État américains ! Fascinant, non ? L'administration Obama, qui voulait réformer les pratiques bancaires, fait ce qu'aucune banque, ni aucun escroc de haut vol, n'a jamais tenté. Il faut dire qu'ils n'en sont plus à une contradiction près : les vingt plus grosses banques américaines vont verser pour 2010 un montant record de rémunérations : 135 milliards de dollars alors qu'Obama devait briser Wall Street, l'appât du gain et les bonus. Michael Douglas a raison de dire en 2010 : « Greed is not just good, it's legal. » Passons."
"Le problème de ce tour de prestidigitation, ô combien impressionnant, est qu'il ne pourra plus être utilisé en 2011. Vous allez comprendre pourquoi. Les taux montent. La Fed perd donc tous les jours de l'argent sur les 1.100 milliards d'emprunts d'État qu'elle a avalés. Elle va sûrement encore jouer la fuite en avant avec un QE3 ou un QE4 mais elle ne pourra pas continuer à absorber intégralement les besoins d'emprunt de ses collègues du Trésor. Geithner et Bernanke ont besoin que les taux d'intérêt baissent pour qu'ils puissent continuer à faire voltiger les dollars sans que les spectateurs s'aperçoivent de la supercherie. Oui, mais voilà. Avec des matières premières en folie, du fait entre autres de ce « quantitative easing », des valeurs d'actifs qui montent sous l'effet de la spéculation, des banques qui reprennent leurs plus mauvaises habitudes, les taux grimpent. Doucement mais sûrement. Et il suffit que cette hausse s'accélère pour qu'on découvre que tout cela n'est qu'une gigantesque arnaque."
Source: La Tribune
"Que s'est-il passé en 2010 ? L'État américain, déjà en faillite virtuelle, a fait de la relance. Il a injecté des centaines de milliards de dollars dans l'économie qu'il n'avait pas. Ces centaines de milliards, le Trésor américain a dû les emprunter. Le problème, c'est que les Chinois ne veulent plus de ces nouveaux subprimes, ni les Japonais ni les pays du Golfe... Les ménages américains ont absorbé une partie de ces déchets napolitains pour placer une épargne récemment reconstituée. Mais cela ne suffisait pas. Dès lors, la Fed est venue prêter au Trésor américain... Mais la Fed et le Trésor, c'est pareil ! C'est de l'argent qui sort d'une poche pour entrer dans l'autre, avec deux poches qui, aujourd'hui, sont percées. On a appris cette semaine, sans surprise, mais tout de même avec effroi, que la Fed était passée devant la Chine et était devenue le plus gros détenteur d'emprunts d'État américains ! Fascinant, non ? L'administration Obama, qui voulait réformer les pratiques bancaires, fait ce qu'aucune banque, ni aucun escroc de haut vol, n'a jamais tenté. Il faut dire qu'ils n'en sont plus à une contradiction près : les vingt plus grosses banques américaines vont verser pour 2010 un montant record de rémunérations : 135 milliards de dollars alors qu'Obama devait briser Wall Street, l'appât du gain et les bonus. Michael Douglas a raison de dire en 2010 : « Greed is not just good, it's legal. » Passons."
"Le problème de ce tour de prestidigitation, ô combien impressionnant, est qu'il ne pourra plus être utilisé en 2011. Vous allez comprendre pourquoi. Les taux montent. La Fed perd donc tous les jours de l'argent sur les 1.100 milliards d'emprunts d'État qu'elle a avalés. Elle va sûrement encore jouer la fuite en avant avec un QE3 ou un QE4 mais elle ne pourra pas continuer à absorber intégralement les besoins d'emprunt de ses collègues du Trésor. Geithner et Bernanke ont besoin que les taux d'intérêt baissent pour qu'ils puissent continuer à faire voltiger les dollars sans que les spectateurs s'aperçoivent de la supercherie. Oui, mais voilà. Avec des matières premières en folie, du fait entre autres de ce « quantitative easing », des valeurs d'actifs qui montent sous l'effet de la spéculation, des banques qui reprennent leurs plus mauvaises habitudes, les taux grimpent. Doucement mais sûrement. Et il suffit que cette hausse s'accélère pour qu'on découvre que tout cela n'est qu'une gigantesque arnaque."
Source: La Tribune
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