Menu déroulant

. .

vendredi 30 mars 2012

AC Chartisme: Lafarge en route pour les 37€ et plus si on casse ces niveaux en clôture


Tous les propos qui sont tenus sur ce blog ne représentent pas de recommandations de placement en tant que telles. Il s’agit de fournir des idées et d’offrir un espace convivial de discussion.
Ces avis ne représentent pas automatiquement des positions que nous avons dans nos portefeuilles.
Chaque personne est consciente des risques inhérents aux investissements boursiers.
Les propos n’engagent que l’auteur, et ne sauraient en aucun cas constituer une recommandation ou un conseil, mais uniquement une information générale.

AC Chartisme - Carrefour: Le titre devrait se poser sur son support

Après une longue descente aux enfers pour le titre depuis 2 ans, un support s'est formé depuis trois mois. Le titre suite à sa chute récente de ses derniers jours est proche de son support. Un test de celui-ci pourrait être un bon point d'entrée pour ce qui ne sont pas rentré début Mars.


Tous les propos qui sont tenus sur ce blog ne représentent pas de recommandations de placement en tant que telles. Il s’agit de fournir des idées et d’offrir un espace convivial de discussion.
Ces avis ne représentent pas automatiquement des positions que nous avons dans nos portefeuilles.
Chaque personne est consciente des risques inhérents aux investissements boursiers.
Les propos n’engagent que l’auteur, et ne sauraient en aucun cas constituer une recommandation ou un conseil, mais uniquement une information générale.

jeudi 29 mars 2012

Nicolas Doze: Récession en Espagne : qui va payer ?

AC Chartisme - Peugeot en route pour le test de son support à 11.5€-11.6€


AC Chartisme - Valeurs CAC40: BNP et Bouygues

Deux valeurs qui devraient encore baisser ces prochaines semaines.
BNP a cassé son support. Prochain target 32€.


Le graphique parle de lui même. Un éventuel support à 22€ qui je pense, ne devrait pas tenir. Le niveau à surveiller est 21.45€.  Négatif donc sur la valeur.


Tous les propos qui sont tenus sur ce blog ne représentent pas de recommandations de placement en tant que telles. Il s’agit de fournir des idées et d’offrir un espace convivial de discussion.
Ces avis ne représentent pas automatiquement des positions que nous avons dans nos portefeuilles.
Chaque personne est consciente des risques inhérents aux investissements boursiers.
Les propos n’engagent que l’auteur, et ne sauraient en aucun cas constituer une recommandation ou un conseil, mais uniquement une information générale.

Nicolas Doze - Contrôler le prix du pétrole ?

mercredi 28 mars 2012

Performance YTD des différents marchés actions


AC Chartisme - CAC 40 devrait continuer à consolider

Comme indiqué lors du dernier post, le retracement de Fibo 61.8% a bien joué son rôle et la dynamique baissière se met en place. En retour sur les 3260-3270 points nous semble probable. Une possible pause pourrait s'effectuer vers les 3360points.


Tous les propos qui sont tenus sur ce blog ne représentent pas de recommandations de placement en tant que telles. Il s’agit de fournir des idées et d’offrir un espace convivial de discussion. Ces avis ne représentent pas automatiquement des positions que nous avons dans nos portefeuilles. Chaque personne est consciente des risques inhérents aux investissements boursiers. Les propos n’engagent que l’auteur, et ne sauraient en aucun cas constituer une recommandation ou un conseil, mais uniquement une information générale.

AC Chartisme - Arcelor et Axa


Le titre a cassé à la baisse sont support. Un 1er support vers les 13€ pourrait soutenir le titre. En attendant on est négatif sur le titre.


Après le signal d'achat de début Janvier lors du test sur son support, le titre a progressé d'environ 30%. Le titre s'est appuyé aujourd'hui sur un support à 12.66€, mais celui-ci semble fragile. Une prise de profit sur ces niveaux parait intéressante en attendant que le titre casse à la hausse/baisse sa résistance/son support. Le titre devrait traiter entre 11€ et 14€ ces prochaines semaines.

Tous les propos qui sont tenus sur ce blog ne représentent pas de recommandations de placement en tant que telles. Il s’agit de fournir des idées et d’offrir un espace convivial de discussion.
Ces avis ne représentent pas automatiquement des positions que nous avons dans nos portefeuilles.
Chaque personne est consciente des risques inhérents aux investissements boursiers.
Les propos n’engagent que l’auteur, et ne sauraient en aucun cas constituer une recommandation ou un conseil, mais uniquement une information générale. 

AC Chartisme - Or: Période de consolidation


Le momentum à court terme est clairement négatif et un retour sur le support vers les 1600$ nous semble probable. Le prochain fort mouvement devrait démarrer lors de la sortie de cette configuration graphique.

Tous les propos qui sont tenus sur ce blog ne représentent pas de recommandations de placement en tant que telles. Il s’agit de fournir des idées et d’offrir un espace convivial de discussion.
Ces avis ne représentent pas automatiquement des positions que nous avons dans nos portefeuilles.
Chaque personne est consciente des risques inhérents aux investissements boursiers.
Les propos n’engagent que l’auteur, et ne sauraient en aucun cas constituer une recommandation ou un conseil, mais uniquement une information générale. 

AC Chartisme - SOITEC consolide

Pour un des mes fidèle lecteur:


Un retour sur les 4.2€ est envisageable. Tant que le titre ne sort pas du biseau, aucune urgence selon nous pour acheter le titre.

Tous les propos qui sont tenus sur ce blog ne représentent pas de recommandations de placement en tant que telles. Il s’agit de fournir des idées et d’offrir un espace convivial de discussion.
Ces avis ne représentent pas automatiquement des positions que nous avons dans nos portefeuilles.
Chaque personne est consciente des risques inhérents aux investissements boursiers.
Les propos n’engagent que l’auteur, et ne sauraient en aucun cas constituer une recommandation ou un conseil, mais uniquement une information générale. 

AC Chartisme - Valeurs CAC40: Accor, Air Liquide, Alcatel, Alstom



La sortie du biseau pourrait être violente. En attendant on reste cash.


La barre des 100€-101€ devrait être difficile à cassé. Aucune urgence pour shorter le titre tant que le support n'est pas cassé.


Depuis le signal de vente fin Février, le titre a tenu son 1er support mais la résistance à court terme limite un upside important sur le titre. Neutre sur la valeur pour l'instant.


Le titre a rebondi sur son support et reste au -dessus du seuil des 30€. Nous restons positifs sur la valeur.

Tous les propos qui sont tenus sur ce blog ne représentent pas de recommandations de placement en tant que telles. Il s’agit de fournir des idées et d’offrir un espace convivial de discussion.
Ces avis ne représentent pas automatiquement des positions que nous avons dans nos portefeuilles.
Chaque personne est consciente des risques inhérents aux investissements boursiers.
Les propos n’engagent que l’auteur, et ne sauraient en aucun cas constituer une recommandation ou un conseil, mais uniquement une information générale. 

dimanche 25 mars 2012

Merci à vous tous pour votre suivi et vos commentaires dans cette rubrique.

Ce service exigeant ne sera  désormais accessible que pour nos membres PREMIUM.

vendredi 23 mars 2012

AC Chartisme - CAC: Possible retour sur les 3220 points

Le Fibo 61.8% a bien fait son travail et a stoppé cette récente envolée du CAC40. Nous sommes repassés en-dessous de la trendline. Tant que l'on reste sous cette résistance, nous voyons peu d'intérêt à rentrer à l'achat. De nombreuses valeurs du CAC ont testé leurs supports. Une journée de baisse supplémentaire aujourd'hui, pourrait accélérer le momentum baissier à court terme.


Tous les propos qui sont tenus sur ce blog ne représentent pas de recommandations de placement en tant que telles. Il s’agit de fournir des idées et d’offrir un espace convivial de discussion. Ces avis ne représentent pas automatiquement des positions que nous avons dans nos portefeuilles. Chaque personne est consciente des risques inhérents aux investissements boursiers. Les propos n’engagent que l’auteur, et ne sauraient en aucun cas constituer une recommandation ou un conseil, mais uniquement une information générale.

lundi 19 mars 2012

Est ce que les obligations High Yield savent quelquechose que les marchés actions ne savent pas?

Alors que les obligations High Yield n'ont pas bougé depuis 4 à 6 semaines, le S&P500 lui continue a progressé et toucher des plus hauts. Le marché obligataire a souvent anticipé les marchés actions. Comme l'on dit 'credit anticipates and equity confirms', reste à savoir quand le momentum va s’essouffler.

 
 Un exemple récent:


Et pour finir, un graphique représentant le ratio (Prix des obligations High Yield) /VIX qui nous indique un risque de retournement important.

Infographie: Apple avec ses 100 milliards de cash pourrait s'acheter .......

Positionnement des retail traders forex - 18/03/2012

La Grèce et le FESF en une seule infographie

jeudi 15 mars 2012

Daniel Hannan : Mon dernier mot sur le sauvetage des banques

Le pic de marché semble proche

Plusieurs signaux nous laissent penser que la hausse des marchés à court terme est très limitée.

Tout d'abord , les force acheteuse des zinzins (institutionnels), est de plus en pus faible alors que la force vendeuse continue à augmenter. Le VIX est désormais proche de ses plus bas de ces 12 derniers mois (cf graphique).


Les investisseurs "retails" commencent à investir sur les marchés actions:






Aucune correction en données hebdomadaires sur le SP500 depuis le début de l'année:



La hausse du prix de l'essence ne va pas aider non plus à soutenir la consommation US:



Quand Mr Smith dénonce les pratiques de Goldman Sachs

Copyright Reuters
Copyright Reuters Copyright Reuters
latribune.fr (avec AFP)
Il s'appelle Greg Smith et dans la plus pure tradition des "wistleblowers", il vient de tirer le signal d'alarme contre sa banque, Goldman Sachs, dans le New York Times. Ancien responsable des produits dérivés en Europe, Afrique et Moyen-Orient, il dénonce le culte du profit de la puissante grande banque d'affaires américaine qui selon lui privilégierait ses intérêts au détriment de ceux de ces clients. Une accusation déjà formulée pendant la crise des subprimes et qui a fait l'objet de nombreuses procédures judiciaires. Un cadre supérieur de Goldman Sachs, claquant la porte au bout de 12 ans, a dénoncé mercredi dans une tribune au New York Times la culture d'entreprise "toxique" de la grande banque d'affaires, qui privilégierait systématiquement ses profits au détriment de ceux de ses clients. Greg Smith, qui indique démissionner mercredi de son poste de directeur exécutif et responsable des produits dérivés américains en Europe, en Afrique et au Moyen-Orient, affirme que "les intérêts des clients continuent à passer au second plan dans la façon dont la banque fonctionne et pense à gagner de l'argent".
"Quand les livres d'histoire seront écrits sur Goldman Sachs, ils pourraient bien montrer que le PDG actuel, Lloyd Blankfein, et le président, Gary Cohn, ont laissé tomber la culture de la firme quand ils en tenaient les rênes. Je crois réellement que ce déclin de la fibre morale de la firme représente la menace la plus sérieuse pour sa survie à long terme", écrit M. Smith. Selon lui, c'est arrivé au point que "celui qui gagne assez d'argent pour la banque, à condition qu'il ne soit pas un assassin, sera promu à un poste influent" de Goldman Sachs.
Goldman Sachs a rejeté les accusations de cette lettre ouverte assassine pour son image de grande banque d'affaires. "Nous sommes en désaccord avec l'opinion exprimée qui, selon nous, n'illustre pas notre façon de gérer nos affaires", a indiqué un porte-parole de la banque. "A notre avis, nous ne pourrons réussir que si nos clients réussissent. Cette vérité fondamentale est au coeur de notre comportement". Dans un mémo interne reproduit par l'agence Bloomberg, Loyd C Blankfein, le président de la banque répond aux accusations de son ancien employé (lire ici le mémo), signe que l'affaire prend un vaste ampleur à Wall Street.
Mais M. Smith, ancien membre de l'équipe de recrutement de la banque, chargé de repérer dans les universités les étudiants les plus prometteurs pour les convaincre de la rejoindre, cite plusieurs anecdotes à l'appui de ses accusations. "Ca me rend malade de voir comment les gens parlent de façon ignoble d'arnaquer leurs clients", écrit-il.
"Depuis 12 mois j'ai vu cinq différents directeurs généraux parler de leurs propres clients comme de "pantins", quelque fois dans des courriels internes", ajoute-t-il, alors même que ce genre de comportements a été abondamment dénoncé ces dernières années dans des enquêtes judiciaires et parlementaires, comme l'affaire de "Fabulous Fab", alias Fabrice Tourre. M. Tourre est un cadre français de la banque poursuivi pour avoir trompé des investisseurs en leur vendant des produits financiers complexes et très risqués adossés au marché immobilier américain.
"Je n'ai connaissance d'aucun comportement illégal", écrit encore M. Smith. "Mais est-ce que les gens (de Goldman) poussent leurs clients à acheter des produits lucratifs et compliqués, même s'ils ne sont pas les plus simples ou s'ils ne correspondent pas à leurs besoins? Absolument. Tous les jours, en fait".
"J'espère que ceci sera un signal d'alarme pour le conseil d'administration", conclut-il. "Replacez le client au centre de vos activités. Sans clients, vous ne gagnerez pas d'argent, en fait vous n'existerez pas. Eliminez les gens qui n'ont pas de morale, sans considération de l'argent qu'ils font gagner à la banque. Et rétablissez la culture d'entreprise pour que les gens veuillent travailler ici pour les bonnes raisons".
Voir le lien avec l'article  "Why I'm leaving Goldman Sachs" sur le site du New York Times.

Source et remerciements: La  Tribune

mercredi 14 mars 2012

Et le champion du monde des IPO est...la Chine

 L'introduction en Bourse s'annonce comme l'opération de l'année. 2012 Copyright Reuters

Pascale Besses-Boumard
"L'an passé, le marché des introductions en Bourse a progressé de 13% en volume et de 1% en valeur selon la dernière étude de PWC.En Europe, c'est la Pologne qui se place en haut du podium avec 203 opérations alors que la Chine en a réalisé ...420.


Le marché européen des introductions boursières n’a finalement pas été si catastrophique que cela l'an dernier si l’on en croit la dernière étude « IPO Watch 2011 » réalisée par PWC. Il faut dire que l’année a été coupée en deux. Avec une bonne première moitié et une deuxième partie plutôt calamiteuse. Au final, ce marché a progressé de 13% en volume et de 1% en valeur avec 430 opérations réalisées pour un montant de 26,5 milliards d’euros. Les six opérations les plus importantes ont représenté, 60% des fonds levés (16 milliards d’euros), comparés à 37% en 2010 (9,6 milliards).


L’an passé, si Varsovie a accueilli le plus grand nombre d’IPO en Europe avec 203 introductions, Londres reste le marché le plus important en termes de valeur des opérations, en cumulant plus de la moitié de la valeur des fonds levés, soient 14,1 milliards d’euros. Par ailleurs, diverses opérations de privatisations en Espagne et Pologne ont permis de lever plus de 5 milliards d’euros. L’Espagne a également profité de la mise en Bourse de Dia, qui a levé 2,4 milliards d’euros.


Marché atone en France


En France, le marché s’est révélé très atone. « La place de Paris s’est révélée assez peu attractive pour les investisseurs. Contrairement au Royaume-Uni, nous ne bénéficions pas des investissements provenant, par exemple, de fonds de pension, et la langue reste perçue comme une barrière technique réelle. Les entreprises qui s’introduisent à Paris sont donc généralement des entreprises françaises, et non étrangères, ce qui limite la portée de la place par rapport à Londres », explique Philippe Kubisa, associé PwC, spécialiste des Marchés de Capitaux.


La Chine totalise le plus grand nombre d'opérations au monde


Aux Etats-Unis, malgré des conditions de marchés turbulentes, le nombre d’IPO a atteint 134 opérations pour un montant de 25,6 milliards d’euros (comparativement à 168 IPO en 2010 et 29,1 milliards, qui intégraient 11,6 milliards d’euros de re-privatisation de General Motors).
La Chine, de son côté, totalise le plus grand nombre d’opérations au monde avec 420 IPO pour une valeur de 57,2 milliards d’euros, bien qu’en baisse de 42% par rapport à 2010. Hong-Kong confirme sa réputation avec l’introduction d’entreprises de luxe comme Prada en Juin pour un montant de 1,5 milliard d’euros. Pour 2012, les experts de PWC ne se montrent pas excessivement optimistes. Ils comptent certes sur l’IPO de l’année, à savoir celle de Facebook. Cela étant, ils n’anticipent pas un regain d’opérations dans l’immédiat, les marchés ayant toujours besoin de digérer la crise de l’euro mais aussi les craintes macro-économiques aux Etats-Unis."

Baisser la TIPP flottante, un non-sens économique

AC Chartisme - CAC40: Test important sur la résistance oblique

Le Qatar devient l'un des premiers actionnaires du groupe Total

"Le Qatar a acquis 2 % du capital de Total depuis cet été. Le pays devient le troisième actionnaire du groupe derrière les salariés et le milliardaire belge Albert Frère. Cette arrivée s'est accompagnée d'une nette remontée du titre en Bourse."

Le Qatar devient l\'un des premiers actionnaires du groupe Total
"Après Veolia, Vinci ou Lagardère, le Qatar vient de faire son entrée dans la plus grosse capitalisation de la Bourse française. Depuis cet été, l'émirat a acquis 2 % du capital de Total, selon nos informations. Au cours actuel, il détient à ce jour une participation évaluée à plus de 2 milliards d'euros. Les achats auraient été discrètement réalisés par deux fonds souverains, avant d'être récemment regroupés au sein de Qatar Holdings. Contacté, Total n'a pas souhaité faire de commentaires.
Cette prise de participation fait du Qatar l'un des cinq premiers actionnaires du pétrolier français, derrière les salariés, le milliardaire belge Albert Frère et devant la CNP (Compagnie Nationale à Portefeuille). Le Qatar dispose désormais d'une participation équivalente à celle du fonds chinois Safe (State Administration of Foreign Exchange), rentré au capital de Total en 2008.

Le rebond après la traversée du désert

Bien que passée inaperçue, l'arrivée du Qatar dans le capital de Total s'apparente aujourd'hui à une très bonne affaire pour l'émirat. Le titre du pétrolier français s'est envolé de plus de plus de 32 % au cours des six derniers mois, à 42,65 euros, après avoir approché le plancher des 30 euros à la fin du mois de septembre.
En Bourse, ce rebond marque la fin d'une traversée du désert pour le pétrolier français. Pénalisé par la crise de la zone euro, Total a connu une année 2011 difficile. Sur l'ensemble de l'exercice, sa performance s'est avérée inférieure de plus de 13 % à celle de ses huit concurrents européens et anglo-saxons les plus proches. Total est l'une des sociétés les plus liquides de l'Eurostoxx 50. Lorsqu'un gérant de fonds souhaite se désengager de la zone euro, il a tendance à vendre des titres Total alors même que le pétrolier réalise ses affaires en dollars.
Pour certains, le groupe souffre aussi de la mauvaise image de la France auprès des investisseurs anglo-saxons. Ceux-ci s'inquiètent de la perte de compétitivité du pays et d'un possible durcissement de la fiscalité pour les grands groupes hexagonaux. Total a néanmoins réussi à renverser la tendance à l'issue de sa présentation stratégique du mois de septembre. Total y a rappelé sa faible exposition à la zone euro.
Le groupe pétrolier y a également présenté les résultats d'une politique d'exploration plus audacieuse, qui s'est traduite par des découvertes importantes en Guyane, en Bolivie et en Azerbaidjïan. Le groupe s'est aussi lancé dans une politique de cessions et d'acquisitions beaucoup plus active en 2011, qui a mis un terme à son surnom de «belle endormie». Cette politique active de cessions doit permettre au groupe d'absorber des investissements revus à la hausse sur 2012-2014 tout en assurant des dividendes.
D'ici à 2015, le groupe devrait enfin tirer profit de l'arrivée ou la montée en puissance de grands projets offshore comme Pazflor Angola LNG ou Usan. Ces projets vont générer une production d'environ 600.000 barils équivalent pétrole par jour d'ici à 2015. Très rentables, ces barils vont générer un cash-flow opérationnel de près de 50 dollars d'ici à 2015, contre moins de 30 dollars pour la production actuelle. Une différence liée à la faiblesse des bénéfices engrangés par Total au Moyen-Orient, avec un profit moyen d'à peine 1 dollar par baril."

Source et remerciements: Les Echos

dimanche 11 mars 2012

Les nouvelles obligations grecques valent moins que leur valeur nominale.

 "Maintenant que le suspense de l’accord du secteur privé est terminé, et que les Etats de l’Eurozone ont approuvé le prêt de 130 milliards d’euros, la Grèce devrait en tout cas être en mesure de gérer son surendettement pour un certain temps. Cela ne veut pas dire que la remise sur rail de l’économie grecque est certaine.
Les commentaires d’économistes et d’investisseurs confirment que cette opération fait gagner du temps et que ce qui a été évité n’est pas un défaut, mais un défaut désordonné. Ce plan de sauvetage était absolument indispensable. Mais c’est le point de départ d’une longue route.
Deux nouveaux développements, depuis vendredi, soulèvent cependant des questions :
  • La Grèce vient d’actionner les Collective Action Clauses (CAC) forçant ainsi la conversion des obligations existantes soumises au droit grec. En clair, le mythe du défaut volontaire a vécu. Toutes les contorsions effectuées par la Grèce pour éviter ce cas n’auront servi a rien, et l’opération du secteur privé est devenue coercitive. Les agences de notation vont réduire encore la note grecque. Fich l’a réduite vendredi au niveau de restricted default.
  • L’International Swaps and Derivatives Association (ISDA) vient de confirmer que les 2,7 milliards d’euros de Credit Default Swaps qui garantissent ce montant d’obligations souveraines grecques devront payer environ 1,5 milliard d’euros pour couvrir la perte de 53,5 % résultant de la conversion des 172 milliards d’euros d’obligations soumises au droit grec. Les doutes sur la validité de ces assurances sont donc dissipés. Il s’agit donc d’un credit event qui implique le paiement des assureurs.
Vendredi, les cours de ces obligations étaient de l’ordre de 25%.Ce n’est que pas encore vraiment significatif. Par ailleurs, le cours des obligations grecques n’a pratiquement pas diminué depuis l’accord du 8 mars.
Dans ce contexte, une question importante se pose : à quelle valeur les banques devront-elles comptabiliser ces obligations ? Le taux d’intérêt  moyen des obligations à trente ans est de l’ordre de 4%.  Or, le rendement des obligations à trente ans émises par la Grèce oscille entre 16 et 17%. Il est donc certain que le négoce de ces obligations fera apparaître une perte substantielle par rapport à leur valeur nominale de 100%.
Deux cas de figure se présentent ici :
  • Si la banque décide que ces obligations font partie de ses activités de core banking ce qui signifie qu’elle va les garder pendant trente ans, elle peut les comptabiliser a 100%.
  • Si la banque décide que ces obligations font partie de son trading book, elles devront être  comptabilisées la valeur de marche. Or, sur base de l’évaluation des obligations, ce cours ne devrait pas excéder 30%. Dans cette hypothèse, a la perte de 53,5% sur les obligations anciennes, s’ajouterait une perte de l’ordre de 70% des 31.5% obtenus en obligations grecques. Cela voudrait dire que les banques devraient acter une perte de pres de 75%.
Sur base de ce raisonnement, l’impact sur le secteur privé de cette opération serait non pas de 100 milliards, mais de 150 milliards environ. Il reste donc des questions épineuses à régler et leur impact sur le secteur bancaire pourrait aggraver certaines institutions fragiles."
Source et remerciements: finance.blog.lemonde

L'impact d'un Oscar en 2012

Forbes : La liste des hommes les plus riches

Ce que disent les Parisiens I et II





Source: blablablaetc

vendredi 9 mars 2012

La dette publique pour les nuls

40mn de vidéo c'est long, mais pas quand c'est intéressant!
Profitez du week-end pour la visionner ;-)




Un jackpot de 600 millions pour Goldman Sachs


"Selon une enquête, l'opération organisée en 2001 par Goldman Sachs pour que la Grèce puisse réduire sa dette a rapporté la somme de 600 millions d'euros à la banque américaine.AFP"

"L'opération organisée en 2001 par Goldman Sachs pour permettre à la Grèce de réduire sa dette a rapporté la somme de 600 millions d'euros à la banque américaine. Telles sont les conclusions d'une enquête de deux journalistes de l'agence Bloomberg, Nick Dunbar et Elisa Martinuzzi.

Pour la première fois, deux des principaux protagonistes, Christoforos Sardelis, patron du bureau de gestion de la dette à Athènes entre 1999 et 2004, et Spyros Papanicolaou, son successeur jusqu'en 2010, évoquent publiquement la transaction qui a permis à la Grèce de cacher l'ampleur de son endettement."

Source: Le Monde

Un nouveau plan pour la Grèce probable d'ici deux à trois ans

"Après l'effacement de dette historique avec ses créanciers privés, Athènes risque d'être obligée de demander aux créanciers publics d'alléger son fardeau."

"La diffusion d'un document confidentiel du FMI montre l'étendue du problème : pour que la trajectoire de dette grecque revienne à un niveau soutenable, fixé à 120 % du PIB d'ici 2020, il aurait fallu qu'au moins 95 % des investisseurs participent à l'opération d'échange bouclée jeudi 8 mars. Dès lors, pour un certain nombre de spécialistes, la restructuration historique qui est en cours n'empêchera pas un nouvel effort des créanciers dans quelques années.
« Les estimations de croissance retenues pour la Grèce à moyen terme sont trop optimistes », souligne Jacques Cailloux, chez RBS. Il rappelle que la Troïka, dans son premier rapport, avait par exemple anticipé une contraction de l'activité de 2,6 % en 2011, alors que la réalité risque d'être plus proche de 6 %. « Pour l'avenir, nous prévoyons une croissance de 2,5 % à partir de 2015, alors que la Troïka table sur 4 %. » Autre hypothèse irréaliste selon l'économiste de RBS : la balance primaire (balance budgétaire hors intérêts de la dette). « Le scénario d'un excédent primaire moyen de 4,5 % sur la période 2014-2020 ne tient pas. » Dès lors, pour Jacques Cailloux, sans un nouveau plan d'aide, le niveau d'endettement par rapport au PIB risque d'atteindre 160 % en 2020.
Un risque encore plus important attend Athènes : le risque politique. La colère du peuple grec pourrait se traduire prochainement dans les urnes. Les intentions de vote inquiètent déjà la communauté internationale : le Pasok (le parti actuellement au pouvoir) et son rival Nouvelle Démocratie sont en déclin, alors que les partis des extrêmes font une percée. Les objectifs de rigueur assignés à Athènes pourraient dès lors être sérieusement menacés. 

Retour sur les marchés financiers

« Le nouveau plan d'aide de 130 milliards d'euros est censé couvrir complètement les besoins de financement d'Athènes jusqu'à la fin 2014 », rappelle Ioannis Sokos, chez BNP Paribas. « Cela signifie qu'en 2015, la Grèce devra soit bénéficier d'un nouveau programme de soutien, soit emprunter sur les marchés, soit faire défaut et opérer une nouvelle restructuration de sa dette . » Or, à ce jour, aucun analyste ne croit que le pays pourra faire appel aux marchés financiers dès 2015...
Les autres scénarios mettent les créanciers officiels de la Grèce en première ligne. « La dette grecque va passer des mains du privé au public, à savoir le FMI, l'Union européenne, le Fonds de stabilité européen (FESF), et la Banque centrale européenne », explique Ioannis Sokos. Selon lui, en 2015, le FESF aura une créance de 167 milliards d'euros sur Athènes, celle de l'UE et du FMI atteindra 64 milliards. En face, les obligations grecques détenus par les investisseurs, ne représenteront que 62 milliards, soit 18 % de la dette. Selon OpenEurope, un cercle de réflexion britannique, la dette entre les mains des prêteurs officiels va passer de 36 % en ce début d'année à 85 % d'ici 2015 %. Une vraie menace pour les contribuables de la zone euro."

Source: Les Echos

Positionnement des retail traders (Forex) - 08/03/2012

GDP forecasts

jeudi 8 mars 2012

La Grèce, entre défaut et faillite son cœur balance

Positionnement des retail traders (Forex) - 08/03/2012

Les désastres climatiques en hausse ces 30 dernières années

Ci-dessous un historique des désastres climatiques entre 1980 et 2009 du "Centre for Research on the Epidemiology of Disasters".
Il montre par exemple qu'il y a 30 ans, les  inondations représentaient plus de 40% de l'ensemble des désastres climatiques, les tempêtes environ 45% et les sécheresses 15%. Aujourd'hui, environ 150 millions de personnes sont touchés tous les ans. On estime le montant des dégâts annuels aujourd'hui entre 50 et 100 milliards de dollars.
Le rapport estime qu'en 2050, plus de 1.6 milliard de personnes, soit 20% de la population, seront touchés tous les ans. Les pertes économiques pourrait varier entre 50 milliards et 200 milliards de dollars.

Les villes les plus touchées devraient être principalement en Asie: Dhaka, Kolkata, Shanghai, Mumbai, Jakarta, Bangkok, and Ho Chi Minh City.

mercredi 7 mars 2012

Comment Wall Street manipule le plan de sauvetage de la Grèce

Grâce à un tour de passe-passe, les CDS ont disparu, alors qu'en 2008, au moment de la faillite d'AIG, on avait expliqué aux contribuables américains qu'il s'agissait de contrats sacrés.

La station de métro Wall Street à New York. REUTERS/Eric Thayer - La station de métro Wall Street à New York. REUTERS/Eric Thayer -

"Il s’est passé une chose pour le moins curieuse lors de l’élaboration du plan de sauvetage de la Grèce. Les contrats d’échange sur défaut (CDS) –instruments financiers ayant contribué à déclencher le cataclysme de 2008– ont été mis de côté; une fois de plus, les grandes institutions financières n’ont pas eu à répondre de leur actes irresponsables.
Tout au long de la progression des négociations sur la dépréciation de la dette grecque, une question décisive planait sur les marchés. Il s’agissait de l’acquisition des CDS de la dette grecque –et de qui se verrait contraint de rembourser de très grosses sommes pour couvrir les obligations CDS en cas de défaut de la Grèce.
Rappelons que la vague de faillite qui a déferlé sur les Etats-Unis en 2008 (vague qui a nécessité une intervention massive de l’Etat) fut en grande partie imputable à AIG, qui s’était vu incapable de payer les CDS qu’il avait vendus. Rappelons également que sur les 182 milliards de dollars que les contribuables ont investis dans AIG, 12,9 milliards ont directement été transférés à Goldman Sachs.
En Grèce, ces problèmes ont tout simplement été escamotés. Un comité spécial chargé de régir les CDS s’est réuni; puis il a déclaré que le plan de sauvetage de la Grèce –une dépréciation de 50% de la dette du pays– était volontaire, et qu’il était donc exclu de déclencher les couvertures contractuelles des CDS.

Aussi volontaire qu'un aveu arraché à un prisonnier de Guantanamo

Ce qui signifie que les sociétés qui avaient vendu les CDS n’auront pas à couvrir les pertes qu’elles avaient assurées –la perte de valeur des obligations grecques. Savez-vous qui à le droit de vote dans ce comité? Surprise, surprise: les banques qui émettent –et achètent souvent– ces fameux CDS. Goldman, JPMorgan Chase, Citibank, UBS. Aucune entité gouvernementale; une simple liste d’acteurs financiers –qui ont tout intérêt à gérer le respect des obligations. Et ce comité vote en secret; il ne rend pas compte de ses actes à la population.
La dépréciation de la dette grecque était aussi «volontaire» qu’un aveu arraché à un prisonnier de Guantanamo. Personne n’a accepté les termes de l’accord de bon cœur. Les principaux intéressés y ont consenti parce qu’ils avaient un pistolet gouvernemental sur la tempe –et parce qu’ils savaient que toute alternative promettait d’être encore plus catastrophique.
Mais le bien-fondé de la décision du comité (aussi confuse, et peut-être même absurde, puisse-t-elle apparaître) n’est pas l’objet de cet article. Je reconnais que la décision du comité –l’International Swaps and Derivatives Association Determinations Committee– n’outrepasse pas les limites de sa mission. Je pense aussi qu’elle serait maintenue si on venait à la contester devant une cour de justice.

Faisons le bilan de 2008

Profitons plutôt du tour passe-passe dont ont fait l’objet les CDS grecs pour nous pencher sur l’issue grotesque des plans de sauvetage de 2008. Pendant l’élaboration du plan de sauvetage d’AIG, le département du Trésor et le secteur des services financiers ont insisté pour que les contribuables assurent la totalité des obligations CDS vendues par cette société. Le Trésor a fait valoir que les CDS étaient des contrats sacrés, et que s’ils n’étaient pas respectés, les piliers de notre structure économique s’effondreraient un à un.
(Mettons de côté un point fondamental: les contribuables américains n’ont jamais été partie prenante aux fameux contrats. Ils ont bel et bien payé de leur poche pour réparer les dégâts causés par AIG, et le département du Trésor, qui agissait en leur nom, avait le droit et le devoir –comme toute autre entité accordant un crédit à une société en faillite– de négocier avec les créanciers pour obtenir le meilleur accord possible.
Revenons au présent. Ces contrats CDS –déclarés sacro-saints en 2008– sont aujourd’hui violés et annulés par les parties même qui les ont signés! Les parties –intéressées– à l’origine de ces CDS sont trop heureuses de bénéficier de la vente, de la manipulation et du paiement de ces instruments –jusqu’à ce qu’elles décident, unilatéralement, de les rejeter en bloc. Il suffit d’une simple réunion d’un comité secret et d’un coup de baguette magique pour faire disparaître leurs engagements –et pour éviter de payer les obligations CDS.
Reste à savoir pourquoi, en 2008, le département du Trésor n’a pas exigé du comité secret qu’il se réunisse et qu’il parvienne à négocier un accord. Pourquoi l’idée d’annuler les contrats n’est-elle jamais évoquée dès lors qu’il est possible de piocher allégrement dans le portefeuille du contribuable?
La réponse est simple; si simple qu’il est bien difficile de se voiler la face. En étudiant la structure de l’ensemble des accords susmentionnés, il apparaît que le Trésor n’est plus qu’une façade pour Wall Street –et ce depuis bien trop longtemps. Si une enquête honnête n’est pas menée sous peu pour comprendre les dessous du plan de sauvetage d’AIG, on pourra légitimement parler de déni de justice. Et au final, qui sera le grand perdant de l’affaire? Le peuple. Comme toujours."
Eliot Spitzer

Source: slate.fr

Vidéo BFM: Après le défaut de la Grèce, la valse espagnole et italienne

Nicolas Doze - BFM: La course à l'impôt : une arme politique

Marc Faber - When the Government Will Take Your Gold

Ventes automobiles par constructeurs pour l'année 2011

mardi 6 mars 2012

Attention aux yeux: Le bilan de la BCE dépasse les 3 trilliards d'euros. No comment !

Le rendement espagnol au-dessus du rendement italien

Nicolas Doze - BFM: Le bilan fiscal consternant du quinquennat Sarkozy

AC Chartisme - France Télécom: La zone de soutien des 11€-11.20€ est testée

Certes, il est possible que le titre se stabilise temporairement sur la zone des 11€, support important pour le titre. Cependant; nous restons négatif sur le titre. Les vendeurs ont la main sur le titre depuis de nombreux mois et rien à changer si ce n'est que le titre baisse continuellement et que certains gérants value doivent se ronger les ongles lorsqu'ils voient leurs moins values.
Une cassure du support des 11€ nous semble probable à MT
Tant que la résistance oblique ne sera pas cassée à la hausse nous resterons à l'écart du titre



Tous les propos qui sont tenus sur ce blog ne représentent pas de recommandations de placement en tant que telles. Il s’agit de fournir des idées et d’offrir un espace convivial de discussion.
Ces avis ne représentent pas automatiquement des positions que nous avons dans nos portefeuilles.
Chaque personne est consciente des risques inhérents aux investissements boursiers.
Les propos n’engagent que l’auteur, et ne sauraient en aucun cas constituer une recommandation ou un conseil, mais uniquement une information générale.

AC Chartisme - Air France: Le support est entrain de céder. Le retour vers les 3.8€ est très probable

A moins d'un retournement de marché cet après-midi il est désormais probable que le titre Air France viennent chercher ses plus bas du mois de Janvier à 3.80€ puis à 3.40€ plus bas du mois de Novembre.
Nous maintenons notre avis négatif sur le titre.


Tous les propos qui sont tenus sur ce blog ne représentent pas de recommandations de placement en tant que telles. Il s’agit de fournir des idées et d’offrir un espace convivial de discussion.
Ces avis ne représentent pas automatiquement des positions que nous avons dans nos portefeuilles.
Chaque personne est consciente des risques inhérents aux investissements boursiers.
Les propos n’engagent que l’auteur, et ne sauraient en aucun cas constituer une recommandation ou un conseil, mais uniquement une information générale.